Le contrôle de gestion s’exprime, presque toujours, dans des tableaux de chiffres qui ne peuvent exprimer qu’une portion limitée de la réalité.
Il faut donc inclure dans ses indicateurs des éléments qualitatifs qui ne seront pas stricto sensu des outils de mesure, mais des repères (si on rassemble deux masses à une même température, elles donnent bien naissance à un nouvel objet de masse “mesurable” double, mais la température “repérable” reste la même).
Les chiffres peuvent aussi induire des raisonnements faux : l’histoire de la tortue (ou flèche) et d’Achille en est un exemple bien connu.
Le management inclut la gestion, mais la dépasse, car il doit prendre en compte tout l’humain … dans des proportions croissantes avec le niveau de responsabilité.